top of page

Portrait – Audrey DELEU étudiante à HOLISTÉA

Dernière mise à jour : 16 févr. 2023

A quelques jours de la remise des diplômes, Audrey Deleu, étudiante de 5ème année, revient sur son parcours…


Au départ, Audrey nous confie que, suite à une prise en charge en kinésithérapie à l’âge de 12 ans, c’était vers ce métier qu’elle voulait se tourner.

C’est donc après un bac scientifique, obtenu en 2011, qu’elle s’engage naturellement vers son envie première, en suivant une prépa au concours d’entrée aux écoles de kinésithérapie. Après deux tentatives infructueuses, elle se pose et revoit son projet. Elle cherche à se réorienter, tout en conservant la volonté de travailler de ses mains et en contact avec des patients.

C’est alors qu’elle découvre le métier d’ostéopathe, qu’elle ne connaissait pas du tout auparavant, puis s’inscrit à une journée porte ouverte à HOLISTÉA. La proximité géographique de l’école, le potentiel de la formation pratique clinique et la qualité de la formation dispensée, l’ont conquise.

Elle intègre la formation post-bac en septembre 2013, et après le redoublement de sa 1ère année (qu’elle reconnait avoir été bénéfique) et les 4 années suivantes, elle va enfin être diplômée Ostéopathe D.O. d’ici quelques jours. A l’aube de cette échéance tant attendue, nous lui avons posé quelques questions.


As-tu des regrets quant à ta réorientation ?

Absolument pas, au contraire. J’ai découvert un métier, pour ma part, plus intéressant, qui prend le patient dans sa globalité, corps et esprit ensemble. Ça a été une véritable révélation pour moi. Si je l’avais connu avant, j’aurai foncé.


Est-ce que l’école et la formation, correspondent à ce que tu en attendais ?

Oui dès le départ, j’ai beaucoup apprécié l’ambiance de la vie étudiante (le week-end d’intégration, les animations quotidiennes, etc…). Quant à la formation elle correspond à l’image perçue au départ. Très complète. Et même si je plaisante à dire que j’ai passé « ma vie » au rattrapage, j’ai pris le temps d’apprendre, d’acquérir des bases solides, et suis prête et sereine à l’aube d’exercer l’ostéopathie seule, dans mon propre cabinet.


Qu’est-ce qui a été le plus dur ?

La patience dans les traitements, dans le sens de ne pas vouloir trop en faire, trop vite. De savoir écouter ses sensations, et son patient.


Ton meilleur souvenir ?

Mon entrée en clinique. Voir mon projet qui se concrétise, grandir au fil de l’apprentissage d’une profession. Et mon premier patient, celui qu’on n’oublie jamais.


Ton projet professionnel a-t-il évolué avant et après la formation ?

A vrai dire, je n’arrivais pas à me projeter au départ. Ça s’est fait petit à petit, et tout à fait naturellement finalement. J’ai mûri le projet de m’installer en libéral en province, et ça prend forme ! A quelques jours du diplôme, je suis hyper heureuse et très fière de ces années et de ce que j’ai accompli.


Un dernier message à faire passer ? En général, ou aux futurs étudiants ostéopathes ?

Se faire confiance ! Même si on se retrouve aux rattrapages, ce n’est pas une fatalité. C’est un métier riche en apprentissage à tous points de vue. Malgré la charge de travail, on apprend tous les jours, tant sur notre métier que sur nous-même. Il faut croire en soi et en ses capacités.


bottom of page