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Parcours remarquable d’une étudiante HOLISTÉA

Dernière mise à jour : 16 févr. 2023

Charlotte B.,  étudiante en 1ère année Formation initiale Post-bac, a repris ses études après un parcours scolaire et professionnel d’ingénieur, voici son expérience…


Après un brillant parcours scolaire, Charlotte obtient son diplôme d’ingénieure en Physique/Chimie à Bordeaux, qu’elle poursuit par une thèse de doctorat en Allemagne, tout en faisant ses premiers pas dans le monde du travail. D’une curiosité insatiable, elle intègre même pour quelques temps l’université technique de Darmstadt comme chercheuse, et poursuit son chemin en intégrant l’équipe d’un célèbre constructeur automobile au poste de chargée de projet.

Sa route semble tracée, sa carrière lancée, sa soif d’activités étanchée par les nombreux sports qu’elle pratique, notamment le Tae Bo (discipline ludique qui s’apparente au body combat) dont elle devient même entraîneuse !

Et pourtant, elle perçoit un manque dans son épanouissement professionnel. Douée de capacités d’apprentissage indéniables, ses qualifications techniques lui procurent certes une certaine satisfaction, mais la dimension humaine ne répond pas à ses attentes.

C’est son grand intérêt pour le corps humain, les rapports interpersonnels et la considération de l’humain dans son ensemble, qui réveille en elle la part non exprimée jusqu’alors dans son travail, et l’engage à se tourner vers l’ostéopathie. Discipline qui, pour elle, considère un patient dans son ensemble et permet d’identifier les causes, les relations intracorporelles et les effets sur le corps de différents facteurs. Elle est fascinée par l’aptitude à ressentir cette dynamique interne et pouvoir rétablir un équilibre.

Pour cela, le choix d’HOLISTÉA s’est imposé assez naturellement, par sa qualité de formation et sa complémentarité avec la clinique. Ça a été également l’occasion, pour elle, de renouer avec ses racines et retrouver les liens de chaleur humaine portés par l’ostéopathie.

Ce n’est pas sans une certaine réflexion qu’elle s’est lancée dans ce nouveau projet de vie, qui signifiait alors : démission, déménagement, retour en France, etc… Son entourage la soutient mais a accueilli la nouvelle avec une certaine appréhension.

Et finalement elle saute le pas, nous confiant en toute humilité, s’être dit « qu’est-ce que je risque ? Si je n’essaie pas, je ne saurais jamais ».

Son bagage d’ingénieure sous le bras, c’est davantage le fait de quitter tous ses amis et sa vie sociale, après 10 ans passés en Allemagne, qui a été le plus difficile.

Mais elle ne regrette rien. Et puis son choix n’est pas irréversible, se rassure-t-elle.

« Mais ce sont deux mondes complètement différents !? » lui dit-on souvent depuis le début d’année, supposant peut-être un choix de réorientation trop hâtif. Mais non, au contraire, c’est la même chose pour elle, le même raisonnement. Il faut juste apprendre à faire les ponts entre ces deux univers.

Alors certes, bien qu’elle soit la plus âgée de sa promotion, à la trentaine, son retour sur les bancs de l’école lui a demandé de s’adapter au monde de plus en plus digital. Les réseaux de communication sont en effet beaucoup plus développés qu’à son époque, bien qu’assez récente !

Elle conclut honnêtement, en assumant que c’est un choix qui lui a quand même beaucoup coûté, mais qui en vaut le coup. Elle encourage d’ailleurs tout le monde à oser sortir de sa zone de confort et, tous risques calculés, à suivre sa petite voix intérieure : « Lancez-vous ! »

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